Article paru dans L'est pour les un an du magasin
À partir du 02/11/2012
PROXIMITÉ
À l’ouverture, le gérant visait une fréquentation de 130 personnes par jour. Il en est aujourd’hui aux deux tiers. Bref, son objectif n’est pas rempli sans que toutefois, le bilan soit catastrophique. D’autant que deux autres facteurs ont gêné son développement : les travaux dans la cour des Halles et sur le passage menant au parking de la Lizaine, qui ne se sont achevés que la semaine dernière, et un déficit de visibilité. Les Halles étant classées aux Monuments historiques, l’installation d’un totem indiquant le magasin à l’entrée de la cour a en effet été refusée.
Pour la signalisation, il n’y a pas grand-chose à faire mais pour la notoriété future du magasin, le bouche à oreille commence, lui, à fonctionner. Pour l’heure, 80 % des clients viennent du centre-ville de Montbéliard, 20 %, essentiellement des familles avec enfants, des alentours. « Il y a deux dimensions qui correspondent très bien aux missions de notre magasin : une de proximité et une de consomm-action avec le bio ».
En un an, la Biocoop, qui s’approvisionne pour les produits emballés sur une plateforme (bio évidemment) à Sorgues, a réussi à rassembler une trentaine de producteurs locaux : fruits, légumes, produits laitiers, fromages, confitures, pain sont fabriqués, de manière biologique, dans un rayon de trente kilomètres. Une vraie fierté pour le directeur, qui n’hésite pas à participer à différentes manifestations et même à en organiser pour promouvoir la qualité de ses 5.000 références.
« Je suis optimiste », conclut Pierre-Etienne Aria, qui dirige ici une équipe de cinq personnes. « D’abord parce que nous ne sommes installés que depuis un an. Ensuite parce que je crois à une prise de conscience : les gens se rendent compte que l’on doit consommer différemment ».
À l’ouverture, le gérant visait une fréquentation de 130 personnes par jour. Il en est aujourd’hui aux deux tiers. Bref, son objectif n’est pas rempli sans que toutefois, le bilan soit catastrophique. D’autant que deux autres facteurs ont gêné son développement : les travaux dans la cour des Halles et sur le passage menant au parking de la Lizaine, qui ne se sont achevés que la semaine dernière, et un déficit de visibilité. Les Halles étant classées aux Monuments historiques, l’installation d’un totem indiquant le magasin à l’entrée de la cour a en effet été refusée.
Pour la signalisation, il n’y a pas grand-chose à faire mais pour la notoriété future du magasin, le bouche à oreille commence, lui, à fonctionner. Pour l’heure, 80 % des clients viennent du centre-ville de Montbéliard, 20 %, essentiellement des familles avec enfants, des alentours. « Il y a deux dimensions qui correspondent très bien aux missions de notre magasin : une de proximité et une de consomm-action avec le bio ».
En un an, la Biocoop, qui s’approvisionne pour les produits emballés sur une plateforme (bio évidemment) à Sorgues, a réussi à rassembler une trentaine de producteurs locaux : fruits, légumes, produits laitiers, fromages, confitures, pain sont fabriqués, de manière biologique, dans un rayon de trente kilomètres. Une vraie fierté pour le directeur, qui n’hésite pas à participer à différentes manifestations et même à en organiser pour promouvoir la qualité de ses 5.000 références.
« Je suis optimiste », conclut Pierre-Etienne Aria, qui dirige ici une équipe de cinq personnes. « D’abord parce que nous ne sommes installés que depuis un an. Ensuite parce que je crois à une prise de conscience : les gens se rendent compte que l’on doit consommer différemment ».